TALENT

par Cornelia Roulet 06 mars, 2024
Comment la nature peut vous inspirer pour les transformations organisationnelles agiles et durables avec notre intervenante, experte du sujet, Anouk Lorie.
par Daniel Held 19 juil., 2023
Style de leadership: êtes-vous Commando ou Courbe de Gauss? Vous ne trouverez ces deux styles de leadership dans aucun livre. Ce qu’ils mettent en évidence n’est pas trivial et permet d’éviter bien des problèmes. Article AGEFI - Novembre 2019 - Daniel Held
par Marie-Philippe Vanheems 02 févr., 2023
Ingénieure et visionnaire, Marie-Philippe se bat pour que chacun·e puisse être soi-même et s'exprimer en toute liberté au travail, tout en s'épanouissant. Avec ses 20 ans d'expérience dans la transformation des entreprises en tant que agente du changement et senior executive, principalement en « manufacturing », elle est reconnue pour apporter de l'impact, de l'audace, de la bienveillance et de la bonne humeur dans tous ses projets Les atypiques sont souvent vus comme des extra-terrestres, venus d’une autre planète car ils ne pensent pas « comme nous ». Laissez-vous surprendre par la beauté de leurs talents!
par Daniel Held 23 oct., 2022
Depuis l’émergence des théories et des formations sur le leadership, dans les années 60, les meilleurs formateurs, gurus et autres experts ont proposé des approches brillantes, pertinentes, mais qui souvent ne fonctionnent plus dès que la « météo se gâte » (« chassez le naturel, il revient au galop »). Pourquoi ? Nous allons explorer dans cet article le poids de nos schémas comportementaux et celui de notre regard sur les choses. Ces deux éléments sont au cœur de la réussite du changement (parfois), ou de notre tendance à rester dans notre zone de confort – souvent inconfortable (souvent). Nous sommes devenus qui nous sommes aujourd’hui en mobilisant des ressources pour faire face aux diverses difficultés auxquelles nous avons été confrontés dans notre vie (enfance surtout). Et c’est d’abord un réel succès. Nous avons dans ce but mis en place des schémas comportementaux qui nous ont permis de prendre notre place dans la famille, de réussir nos études et notre carrière, d’obtenir de la reconnaissance ou de l’amour, de surmonter des chocs émotionnels (divorce, décès, humiliations, exclusions, ...). Ces schémas sont devenus nos croyances et scenarii de vie, sur lesquels, inconsciemment, nous nous appuyons lorsque nous sommes en difficulté : ils ont fait leur preuve dans le passé et, gravés dans notre « disque dur », sont notre réponse pour l’avenir. Les schémas que nous avons mis en place sont basés sur les ressources dont nous disposions à l’époque (nos traits de personnalité, notre expérience passée, notre contexte) pour faire face aux problèmes de l’époque. Ces schémas nous ont permis d’exister, de performer, ou plus simplement de survivre et/ou d’être acceptés, reconnus voire aimés, p.ex. en nous imposant, en faisant le médiateur, en visant l’excellence, en nous opposant, en nous blindant émotionnellement, en nous résignant ou en nous isolant. Ils nous ont aidé à un moment donné, et sont ancrés en nous. Nous comptons de facto sur eux pour être encore efficaces à l’avenir. Ces schémas cependant finissent toujours par trouver leurs limites. Et à ces moments-là, nous allons naturellement pousser notre schéma à ses limites en « faisant plus de la même chose. Ceci confirme que, sous stress, nous sommes incapables de nous réinventer et de sortir du connu. Parce qu’il y a danger, et face au danger, on utilise les ressources ancrées en nous. Cela conduit logiquement à des échecs, ruptures ou maladies. Et il ne suffit pas de le savoir pour les éviter. L’autre facteur qui rend les changements difficiles, est l’extraordinaire capacité des êtres humains à se convaincre qu’ils ont raison de penser ce qu’ils pensent . On le sait depuis la fameuse « self-fulfilling prophecy » des années 60. Et que, lorsqu’on a une conviction ou une croyance sur une question (« je n’y arriverai jamais ; l’autre dira non ; personne ne va nous aider ; ... »), il est pratiquement certain que cela se passe réellement ainsi, confirmant que la croyance était bien la bonne. Cela signifie que le regard que nous avons sur une personne ou une situation - et donc sur nous-même - va conditionner notre comportement et créer les conditions pour amener à ce que nous ne voulons en aucun cas se produise à coup sûr. Mais comme nous n’en sommes pas conscients, nous aurons la confirmation que nous ne pouvons rien faire - à cause de l’autre. En situation de danger, notre regard sur les choses et nos schémas comportementaux vont se renforcer mutuellement, et empêcher tout changement. Nous sommes donc largement responsables (mais pas coupables) de ce qui nous arrive. Ceci est la mauvaise nouvelle, parce que nous ne pouvons pas simplement accuser l’autre. Mais il y a une bonne nouvelle : puisque nous sommes largement responsables de ce qui nous arrive, nous pouvons faire ce qui est nécessaire pour changer le cours des choses. Dans ce but, il s’agira de casser le schéma pour en sortir, et de poser un regard différent sur les choses . En effet, ce processus marche merveilleusement bien aussi dans l’autre sens : si nous sommes convaincus que nous pouvons y arriver. Cela présuppose une réelle volonté de changer, et une démarche éclairée, expérientielle et sécurisante, pour abandonner l’ancien et oser de nouvelles postures et une nouvelle manière de voir les choses. La volonté ou la prise de conscience seules ne suffiront pas, tout comme la plupart des approches d’accompagnement ou de thérapies, si elles ne sortent pas de la prise de conscience et du mental [1] . Et cela marche. Parce que nous sommes capables, en nous donnant les moyens, de réussir ce que nous voulons réussir : donc si nous avons une vision, une compréhension, une volonté et un accompagnement adapté. Et que nous osons cette vision. Daniel Held - Leadership [ 1] Dans notre cabinet, nous obtenons d’excellents résultats en combinant des approches pour libérer les blocages (ex. hypnose ou kinésiologie) ou expérimenter de nouvelles postures (ex. équicoaching).
par Daniel Held 23 avr., 2021
La connaissance de l’être humain est un sujet complexe : aptitudes intellectuelles, intégrité, énergie, leadership, sens commercial, empathie, résilience, flexibilité sont quelques sujets sur lesquels nous avons souvent besoin d’être confortés. La psychométrie s’est développée dès le début du siècle dernier pour diagnostiquer d’abord des pathologies, des orientations personnelles, des traits de personnalité et plus récemment un potentiel de compétences. Malgré des progrès scientifiques décisifs, les outils papier-crayon (même s’ils sont informatisés) gardent une cote élevée à l’ère de l’intelligence artificielle. Pourquoi ? Ce qui est compliqué avec la science psychométrique, c’est que le sujet et l’objet de l’analyse sont les mêmes, puisque c’est l’individu qui répond à des questions visant à le caractériser.
par Daniel Held 09 mars, 2021
Hauts potentiels - Talents particuliers - Talent management
par Daniel Held 31 janv., 2021
Un article pour aider les hauts-potentiels à être dans leur talent et leur différence.
par Daniel Held 13 sept., 2020
Rendre visible l’invisible est le but premier des sciences humaines, mais la vérité fait souvent peur. Pourquoi ? De tout temps, la société a cherché à identifier les personnes les plus à même de remplir des missions et de s’inscrire dans un système social donné. Cela s’est fait longtemps sur la base de la seule observation humaine, avec son lot de jugements erronés. (...). L’émergence des sciences a rendu possible l’objectivation de certains phénomènes, donc de rendre visible ce qui ne l’est pas à première vue. Quelles sont les approches pertinentes, par rapport à celles qui sont des écrans de fumée? Et pourquoi les approches pertinentes ne sont-elles pas encore généralisées? C'est ce à quoi nous tentons de répondre dans l'article de ce mois.
par Daniel Held 25 janv., 2020
Au départ de patrons, leur no 2 sont souvent pressentis voire nommés pour leur succéder. C’est rarement une bonne idée. Pourquoi ?
La magie de l'AI
par Daniel Held 01 mai, 2019
Le recrutement est profondément impacté par les réseaux sociaux et les solutions d’e-recrutement. Mais comment la digitalisation impacte-t-elle la sélection ? L’intelligence artifielle (IA) vise à mettre à la disposition des acteurs (recruteurs ET candidats) des informations auxquelles ils n’auraient pas accès autrement.Il existe depuis quelques années un domaine où l’IA apporte une réelle valeur ajoutée aux deux parties : c’est celui de l’évaluation de la personnalité au moyen d’outils conçus avec les méthodes d’IA pour répondre aux besoins d’un monde global et digital. Des évaluateurs dument formés sont dès lors en mesure de conduire des entretiens/assessments sans commune mesure avec ce qui se pratique aujourd’hui, pour détecter les vrais facteurs de succès et de risque d’une candidature ou d’une décision de carrière. Article AGEFI Indices – Mai 2019 – Daniel Held
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